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Introduction

Dans la culture occidentale, boire un verre après le travail souligne de façon agréable le début d’une période de repos bien méritée. Consommer de l’alcool indique souvent une rupture avec la routine et la vie organisée. Cette pause a une signification symbolique, elle sonne l’heure de la récréation !

Au Québec, les sondages révèlent qu’on consomme de l’alcool surtout lors d’activités sociales, de rencontres familiales ou amicales et de fêtes. La consommation est ainsi associée à la convivialité et au plaisir.

Par ailleurs, outre l’alcool, d’autres substances – et d’autres comportements – sont aussi des symboles d’heureux temps d’arrêt. Pour plusieurs, prendre un bon repas, un café ou une boisson énergisante est un moyen de faire une pause. S’adonner à des jeux de hasard, consommer du tabac ou des drogues, douces ou moins douces, sont aussi des façons de marquer une coupure avec la routine.

L’alcool est donc souvent consommé avec d’autres produits.

Malheureusement, l’alcool ne se mélange pas bien. Associées à d’autres substances, les propriétés spécifiques de l’alcool peuvent produire une combinaison… explosive !

À l’exception de la combinaison alcool et nourriture, il y a des risques à consommer de l’alcool avec d’autres produits. Comprendre les explications biologiques de ces combinaisons et mieux en saisir les enjeux permet de modifier son comportement.

Feu vert : un mélange heureux

Il n’y a qu’une seule substance qui, prise avec l’alcool, a des effets bénéfiques sur la santé, et c’est la nourriture.

La présence d’aliments dans le système gastro-intestinal a un effet positif sur l’assimilation de l’alcool dans le sang. Le type d’aliments ingérés joue aussi un rôle important. En effet, plus la nourriture est grasse, plus lent est le passage de l’alcool de l’estomac à l’intestin et plus long est le temps d’assimilation de l’alcool, diminuant ainsi le taux d’alcoolémie d’un individu.

Il faut se rappeler que les taux d’alcoolémie élevés ont des effets néfastes sur la santé et qu’ils sont à l’origine de bon nombre de chutes, de querelles et d’accidents de la route.

Par contre, les effets bénéfiques que procurent de lents moments de pause et de consommation vont au-delà de la physiologie pure et s’étendent à un autre phénomène biologique, le plaisir ! Le vin, le cidre ou la bière, dégustés en harmonie avec de la nourriture, ajoutent au plaisir de bien consommer le plaisir d’être ensemble.

• ALCOOL ET NOURRITURE

Les études démontrent que ceux qui boivent de l’alcool après avoir mangé un repas riche en gras, en protéines et en hydrates de carbone assimilent l’alcool environ trois fois plus lentement que ceux qui consomment de l’alcool en ayant l’estomac vide. Mais il va sans dire qu’on ne devrait surtout pas en conclure qu’il faudrait manger des repas riches en calories, en protéines et en hydrates de carbone.

Bien harmoniser les mets et les vins provoque un accroissement des sensations gourmandes, pouvant atteindre un niveau de qualité qui n’aurait pas été obtenu si les mets et les vins avaient été consommés individuellement.Un bon mariage entre mets et vins tient aussi compte d’un équilibre des saveurs, en fonction du moment de la journée, de la saison en cours et du type de repas pris.

Une bière, un cidre, un whisky ou tout autre apéritif qui sonne l’heure de la récréation devrait d’ailleurs être accompagné d’amuse-gueules, comme des noix ou des morceaux de fromage.

Lors des études sur la santé et l’alcool, il serait important que les chercheurs tiennent compte des contextes de consommation, puisque boire de l’alcool lors d’un repas peut avoir certains effets bénéfiques sur la santé. Il est vrai cependant que plusieurs travaux prennent effectivement ces contextes en considération.

• ALCOOL DANS LES COCKTAILS

Pour les mêmes raisons d’ingestion, il est préférable de mêler aux cocktails des jus de fruits ou de légumes purs – 100 % naturels –, plutôt que des boissons gazeuses ou aromatisées dont la valeur nutritionnelle est faible.

Si une boisson gazeuse ou aromatisée doit absolument être ajoutée à un cocktail, il est préférable qu’elle ne soit pas de type diète, car le sucre aide à mieux métaboliser l’alcool. Une récente étude australienne – réalisée auprès de jeunes hommes – montre que l’alcool passe plus rapidement de l’estomac au sang et que la concentration d’alcool dans le sang atteint un niveau plus élevé si les cocktails sont faits avec une boisson sucrée artificiellement – de type diète – que s’ils sont faits avec du jus sucré naturellement.

Feu orange : la vigilance s’impose

• ALCOOL ET CAFÉ

Consommé avec modération, le mélange alcool-café n’est pas contre-indiqué. Prendre de l’alcool et du café ensemble, mélangés ou pas, n’est pas nocif en soi; c’est même une pratique répandue depuis fort longtemps. Les cafés alcoolisés qui font ressortir les arômes du mélange sont appréciés à la fin d’un repas.

Par contre, une personne peut parfois prendre du café avec de l’alcool pour des raisons autres que la gourmandise, notamment après avoir trop bu, pour tenter de masquer les symptômes de l’intoxication.

Elle désire, en effet, contrebalancer les effets négatifs de l’alcool en prenant du café, lequel est un dépresseur qui agit sur le système nerveux central et ralentit les fonctions cérébrales affectant le jugement, les émotions et le comportement. Le café, quant à lui, contient de la caféine – excitant reconnu – et des agents chimiques qui stimulent la production de cortisone et d’adrénaline – qui sont des hormones –, ainsi que d’autres excitants.

Des études ont démontré les effets antagonistes de la caféine et de l’alcool. Chez un individu, la caféine permet d’atténuer légèrement les effets de l’ébriété pour qu’il puisse accomplir certaines tâches psychomotrices. Cela étant dit, boire du café après avoir consommé de l’alcool ne permet aucunement de rétablir l’ensemble des facultés nécessaires à la conduite d’un véhicule motorisé.

De fait, la quantité de café consommée n’influence nullement le taux d’alcoolémie.

Qui consomme, ensemble ou en séquence, du café et de l’alcool doit toujours se souvenir qu’il sous-estime sans doute son propre taux d’alcoolémie. Si les effets stimulants du café parviennent à atténuer certains effets dépresseurs de l’alcool, il est physiologiquement impossible que le café diminue le taux d’alcoolémie dans le sang et puisse « dé-soûler » ! Le mélange alcool-café appelle donc à la vigilance, puisqu’il peut engendrer de fâcheuses conséquences, notamment en matière de conduite automobile ou de toute autre activité exigeant une grande attention.

• ALCOOL ET BOISSON ÉNERGISANTE

Ces dernières années, des parts de marché des boissons gazeuses ont été perdues au profit des boissons énergisantes. On consomme ces boissons pour les mêmes raisons qu’on boit du café, soit pour l’effet stimulant qu’elles procurent.

S’il relève de la légende urbaine que ces boissons doivent leur puissance à du sperme ou à de l’urine de taureau, il est vrai que ces boissons contiennent de la taurine, du glucuronolactone et l’équivalent d’une tasse de café de caféine, soit 80 mg.

La consommation des boissons énergisantes est toutefois différente de celle du café. Comme les boissons énergisantes sont consommées froides et qu’elles sont emballées pour la consommation rapide, les effets de la caféine sont ressentis beaucoup plus rapidement qu’avec le café, généralement servi chaud et bu plus lentement.

Pour en savoir plus : Alcool et boissons énergisantes : vraiment pas fort!

• ALCOOL ET JEUX DE HASARD ET D’ARGENT

Il existe une relation causale entre la consommation abusive d’alcool et le jeu pathologique. Il y a davantage de joueurs pathologiques parmi les individus qui consomment abusivement qu’au sein de la population en général. Réciproquement, on observe que les joueurs pathologiques sont plus à risque de consommer abusivement que ce qui est observé au sein de la population en général.

Depuis une dizaine d’années, plusieurs recherches ont été faites pour comprendre les liens entre la consommation abusive d’alcool et le jeu pathologique. Jusqu’à maintenant, on n’a pas clairement identifié les raisons qui expliquent cette comorbidité, mais les deux comportements semblent avoir des causes communes.

La consommation abusive d’alcool et le jeu pathologique sont tous deux des comportements de dépendance qui indiquent une perte de contrôle et qui engendrent des pensées obsessionnelles à l’égard de l’alcool ou du jeu. En dépit de la prise de conscience des conséquences néfastes qu’ont ces habitudes, les personnes dépendantes maintiennent leurs comportements abusifs.

Tant chez les individus qui consomment abusivement de l’alcool que chez ceux qui jouent de façon pathologique, on observe des changements dans les centres du cerveau qui sont responsables du plaisir et des émotions. Les deux comportements accompagnent un dérèglement des mécanismes neurobiologiques qui sous-tendent les pulsions et les récompenses.

Des études cliniques ont mis en lumière la limite des explications génétiques et souligné la nécessité de s’intéresser également aux facteurs contextuels. On explique la comorbidité de la consommation abusive d’alcool et du jeu pathologique par le fait que la consommation abusive d’alcool désinhibe le jeu pathologique. Il arrive souvent que l’on s’adonne à des jeux de hasard et d’argent en consommant de l’alcool.

Il est généralement admis que, si la consommation dépasse le seuil de la modération, l’alcool affecte défavorablement les fonctions cognitives. L’alcool diminue la capacité de jugement et augmente la propension à prendre des risques. Une alcoolémie élevée réduit l’attention pour des faits plus immédiats et plus importants.

Il est possible qu’en ce qui concerne les jeux de hasard et d’argent, même une petite quantité d’alcool soit nocive. Dans le cadre d’une étude expérimentale, un placebo – une dose modérée d’alcool – a été administré à des buveurs sociaux. Ces individus ont ensuite dû participer à des jeux de hasard et il s’est avéré que, comparativement aux individus sobres, ceux qui avaient pris de l’alcool avaient plus de difficultés à évaluer l’ampleur des gains possibles et les chances réelles de gagner, lorsque les risques de pertes étaient élevés.

Les personnes dont l’alcoolémie est élevée seraient donc moins aptes à évaluer les chances réelles de gains et seraient moins portées à se remémorer les pertes subies dans le passé. Les explications contextuelles viennent compléter les observations faites par imagerie cérébrale.

On ne peut expliquer avec certitude la relation causale entre l’alcool et le jeu pathologique. Ce n’est pas nécessairement la consommation abusive d’alcool qui engendre le jeu pathologique, puisque d’autres recherches ont plutôt démontré que ce serait le jeu pathologique qui conduirait à une consommation abusive. On ne peut exclure que, pour certains, les jeux de hasard et d’argent aient entraîné une augmentation de la consommation d’alcool alors que, pour d’autres, la relation joue dans l’autre sens.

Éduc’alcool trouve nécessaire de faire une mise en garde : les individus qui apprécient les jeux de hasard et d’argent devraient éviter d’y consommer de l’alcool. Le mélange alcool-jeu accroît les risques de jouer de façon inappropriée, voire pathologique.

Feu rouge : attention !

• ALCOOL ET TABAC

Les données recueillies auprès de l’ensemble de la population montrent que les fumeurs consomment plus d’alcool que les non-fumeurs, que les consommateurs d’alcool fument plus que les abstinents, que la consommation abusive d’alcool est associée à une grande consommation de tabac et qu’une grande majorité d’alcooliques fume. L’alcool et le tabac sont deux produits qui semblent s’appeler l’un l’autre pour former un couple.

Trois explications ont été apportées pour rendre compte de cette corrélation entre consommation d’alcool et tabagisme.

• Tous deux ont des facteurs de risque contextuels similaires, c’est-à-dire qu’ils sont tous les deux associés à des moments de répit. Jusqu’à tout récemment, alcool et tabac étaient les principaux produits disponibles dans les endroits de loisirs, notamment dans les débits d’alcool. Quiconque allait prendre un verre était pratiquement assuré d’être entouré de fumeurs et d’incitatifs au tabagisme.

• La consommation d’alcool et celle du tabac ont aussi les mêmes facteurs de risque génétiques et psychiatriques. Les études sur le sujet ont jusqu’à maintenant été réalisées sur des rats en laboratoire, mais il semble y avoir consensus à l’effet qu’il y ait chez les humains des facteurs de risque patho-physiologique communs associés au développement de la dépendance à l’alcool et à la nicotine. Cette vulnérabilité – qui n’est pas génétique, mais consécutive à un usage précoce – expliquerait pourquoi le tabagisme des alcooliques est d’environ 85 %, ce qui est trois fois supérieur à ce qui est observé dans la population en général.

• Ce qui étonne dans le mélange alcool-tabac est l’association entre la consommation épisodique d’alcool et la consommation occasionnelle de tabac. Bon nombre de fumeurs sociaux ou de fumeurs de fin de semaine développent une envie soudaine et aiguë d’une cigarette lorsqu’ils consomment de l’alcool de façon abusive. De la même façon, celui qui a cessé de fumer a souvent le malheur de recommencer lors d’une soirée bien arrosée. Ces phénomènes sont dus à l’interaction pharmacologique entre l’alcool et le tabac, qui se manifeste par un intense besoin physique de fumer, un état de manque.

• ALCOOL ET DROGUES

Ce sont surtout les toxicomanes qui mêlent l’alcool aux drogues ou aux médicaments obtenus de façon illicite. Dans la population en général, ceux qui recherchent des sensations fortes, notamment les jeunes – dont le goût pour les nouvelles expériences est prononcé –, risquent de faire ce type de mélange dangereux.

Le mélange alcool-drogue est généralement fait pour augmenter les effets agréables d’une substance ou pour en diminuer les effets désagréables, comme l’anxiété ou la somnolence. Peu importe d’ailleurs les raisons pour lesquelles un individu mêle alcool et drogue, ce mélange crée une interaction pharmacologique pouvant s’avérer extrêmement dangereuse, voire mortelle.

Un des grands dangers du mélange alcool-drogue est que ses effets sont impossibles à prédire. Les facteurs susceptibles d’en influencer les effets sont si nombreux qu’il est impossible de les considérer simultanément avec exactitude. Ils dépendent, par exemple, du mélange même, de la dose, de la voie d’administration, de l’ordre d’administration, du contexte socioculturel ainsi que de l’âge, du sexe, du poids, de l’état nutritionnel, de l’état de santé et de l’état psychologique du consommateur.

• ALCOOL ET MÉDICAMENTS

Certains médicaments, notamment ceux qui sont en vente libre, comme les analgésiques, sont susceptibles de réduire l’élimination de l’alcool, d’en accroître les effets, de les masquer ou de provoquer des réactions imprévisibles. À l’inverse, l’alcool peut atténuer l’efficacité des médicaments ou en gêner l’élimination. Les personnes qui prennent des médicaments doivent s’informer des contre-indications avant de consommer les deux simultanément. Il faut garder en mémoire que tant l’alcool que les médicaments sont éliminés par le foie et que, en règle générale, il est préférable de s’abstenir de consommer si l’on doit prendre des médicaments.

• ALCOOL ET CANNABIS

Au Québec, la consommation de cannabis n’est pas exceptionnelle. Les consommateurs actuels de cannabis – marijuana et haschisch – représentent 15,8 % des Québécois âgés de 15 ans et plus. En outre, 46,4 % des Québécois disent avoir consommé cette drogue au moins une fois au cours de leur vie. Il est impossible de savoir si plusieurs d’entre eux mêlent ce produit à l’alcool, mais si tel est le cas, une mise en garde est nécessaire.

Il existe une synergie renforçatrice entre ces deux produits, ce qui signifie que les effets dépresseurs de l’alcool et ceux du cannabis sont multipliés. Le jugement, le temps de réaction et la coordination sont évidemment touchés, la conduite automobile est donc absolument contre-indiquée.

Comme le cannabis affecte la partie du tronc cérébral associée aux sensations viscérales que sont les nausées et le vomissement, la combinaison alcool et cannabis peut s’avérer particulièrement dangereuse, voire mortelle . En effet, lorsqu’une personne consomme trop d’alcool et qu’elle risque l’empoisonnement, sa réaction naturelle est de vomir. En éliminant le réflexe de vomir, le cannabis augmente le risque d’empoisonnement éthylique.

• ALCOOL ET AUTRES DROGUES ILLICITES

Dans la population en général, seuls 2,5 % des Québécois consomment de la cocaïne, du speed, de l’ecstasy ou d’autres hallucinogènes. Il faut décourager ceux-ci de mêler l’alcool à des narcotiques, des stimulants ou des hallucinogènes.

Ces mélanges peuvent créer un antagonisme où les propriétés d’une substance risquent de supprimer ou d’atténuer les effets de l’autre. Cela engendre de graves conséquences, puisque la personne devient alors incapable de percevoir les effets d’une substance sur son organisme. En d’autres mots, quoique l’état d’euphorie soit moins prononcé, les effets physiques sur divers organes et fonctions ne le sont pas moins.

En mêlant l’alcool à des stimulants, il peut se créer une synergie additive qui augmente les risques d’overdose de l’une ou l’autre des substances. Par exemple, consommer de l’alcool avec un stimulant comme la cocaïne accroît la vitesse à laquelle l’alcool se diffuse dans le corps, donc la vitesse à laquelle il parvient au cerveau. Ce qui a pour effet d’augmenter significativement la concentration d’alcool dans le sang, c’est alors comme si la personne avait bu très rapidement.

Feu violet : danger grave

Malgré l’ensemble des facteurs aggravants ou atténuants, il est indéniable qu’un des mélanges alcool-drogue les plus dangereux est celui où l’alcool – qui est un sédatif – est pris conjointement avec un autre sédatif, c’est-à-dire un barbiturique, une benzodiazépine ou un antihistaminique. On trouve des sédatifs comme le PCP (mescaline, mess, horse, angel dust, TH) et de la ketamine (Spécial K, vitamine K, ket, ketty) chez les vendeurs de rue.

Lorsque l’alcool est combiné à ce type de psychotrope, il se crée une synergie renforçatrice, ce qui signifie que la combinaison des effets dépresseurs est plus grande que la somme de ces effets pris séparément. Ce type de combinaison peut engendrer une dépression extrême du système nerveux central pouvant aller de la confusion jusqu’à l’inconscience et la mort.

Conclusion

Le mélange de l’alcool à d’autres substances est une pratique commune et assez fréquente. Dans le cas du tabac et des drogues – dont toute consommation devrait être proscrite –, le mélange à l’alcool est évidemment contre-indiqué. La consommation de l’alcool avec d’autres sédatifs est absolument à proscrire. En outre, lors de l’ordonnance de tout médicament, il est toujours prudent de demander au pharmacien si la consommation d’alcool est permise ou contre-indiquée.

Par ailleurs, en ce qui a trait au mélange de l’alcool avec le café et avec les boissons énergisantes ou lorsqu’il est combiné à des jeux de hasard, on parle plutôt de vigilance. En effet, le mélange de l’alcool à l’un de ces produits n’est pas forcément néfaste. Par ailleurs, lorsque ces produits sont mélangés à l’alcool de façon excessive, des problèmes graves peuvent survenir.

Au contraire, le mélange alcool et nourriture est conseillé et il peut même être heureux.

Les effets du mélange de l’alcool à d’autres substances ou activités nous rappelle une fois de plus que lorsqu’il y a de l’alcool… la modération a bien meilleur goût !


Pour en savoir plus, consultez www.educalcool.qc.ca

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