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Communiqué

Le Collectif en environnement Mercier-Est (CEM-E) se réjouit de la prise de position de la mémoire, présenté le 8 octobre dernier devant la CMM.

Le CEM-E dénonçait l’augmentation de l’exploitation des sables bitumineux d’Alberta, l’augmentation conséquente des GES, source de changement climatique. Le CEM-E soulevait les faibles retombées économiques à court et à long terme pour la région métropolitaine et pour le Québec, en regard des risques environnementaux en cas de déversement, en sus des responsabilités en sécurité civile générées par le projet. Le CEM-E s’intéressait particulièrement à l’embranchement montréalais de l’oléoduc Énergie-Est situé dans l’est de l’île. Il soulevait oralement le risque encouru en cas de fuite de l’oléoduc vis-à-vis l’intercepteur nord du réseau collecteur des eaux usées, à proximité de la station d’épuration Jean-R.-Marcotte, paralysant l’usine et nécessitant un rejet vers le fleuve des eaux usées montréalaises.

Le CEM-Ene veut pas que l’est de Montréal devienne la plaque tournante du transit de produits pétroliers pour l’est de l’Amérique du nord: arrivage, entreposage et expédition de ces produits par oléoduc, train, camion-citerne et bateau.

« La partie n’est pas gagnée », de souligner Jean Lapointe, le président du Collectif. « Il faut maintenant convaincre le gouvernement du Québec de s’opposer au projet et de défendre cette opposition auprès de l’Office national de l’énergie. » Il ajoute : « C’est maintenant aux citoyens et aux organismes à se faire entendre et à être au rendez-vous au BAPE puis auprès de l’ONÉ, en présentant des mémoires. Rappelons que l’année 2015 a été la plus chaude jamais enregistrée.»

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