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Chronique

Depuis 1986

Titre : «L’automne est une saison sage et de bon conseil.»

Bienvenu à tous, c’est pleine d’énergie que l’équipe Prisme fera son entrée dans les écoles dès Novembre où nous aurons le plaisir d’animer à l’école Lucille-Teasdale l’atelier Sexo-Toxico, qui a pour objectif de faire des liens entre la consommation de psychotropes et les conséquences sur les relations sexuelles. D’ailleurs, pour la semaine de la toxicomanie, qui aura lieu cette année du 13 au 19 Novembre 2016, Prisme aura un kiosque et sera présent à la Polyvalente Deux-Montagnes et l’École Liberté Jeunesse sur l’heure du midi. Un don de Duo-Tang nous ont été fait par Pharmaprix Blainville et uniprix Boisbriand, afin que les élèves du primaire aient leur propre cahier d’élève durant nos ateliers. Prenez note que le 23 Janvier 2017, nous renouvellerons l’expérience du Pizza-thon avec la collaboration de Pizza Hot St-Eustache.

Saviez-vous que…? : Le cannabis a souvent été catégorisé comme une drogue non-productive et qui causerait dans certains cas des maladies mentales. Par contre, de plus en plus on s’intéresse aux propriétés thérapeutiques du cannabis, qui traiterait beaucoup de symptômes en lien avec certains cancers. Les deux composés chimiques les plus connus dans le cannabis sont le THC et CBD qui interagissent avec le corps. Ils sont également produits naturellement par notre corps, en régulant par exemple l’appétit, le plaisir ou la douleur dans notre système. Le cannabidiol(CBD) est un composant non-psychoactif du cannabis. Les personnes ne ressentent donc aucun effet psychoactif comme l’euphorie. Il est utilisé pour réduire les nausées et les vomissements, combattre les troubles de psychose ou neurodégénératif, etc. Le tetrahydrocannabinol(THC) est au contraire le composant psychoactif du cannabis qui génère les effets que cherchent les consommateurs récréatifs, dont l’euphorie, le plaisir, etc. Il est utilisé pour les syndromes de stress post-traumatiques, stimuler l’appétit, soigner l’asthme, traité le glaucome, etc. Ce qu’il faut retenir c’est que ces composantes sont utilisées comme médicaments pour traiter et/ou réduire certains symptômes de maladies. L’utilisation à titre récréatif peut être à risque, puisque étant en bonne santé, le corps peut réagir aux produits et développer des complications inexistantes avant la consommation.

Source : http://www.lesaviezvous.net/sciences/biologie/le-cannabis-peut-il-traiter-le-cancer.html

Jeu pathologique : «Internet et les jeux vidéo peuvent rendre accro !» Partie 2

Comme nous avons vu dans la première partie, la cyberdépendance procure un sentiment de sécurité pour les jeunes ayant plus de difficulté à crée des liens réel avec son entourage. Dans cette forme de dépendance, le centre d’intérêt se déplace de la vie réelle au monde virtuel. Voici donc comment reconnaître les signes d’addiction aux réseaux sociaux et à toute la panoplie de jeux et applications sur internet. Il y a tout d’abord, lorsque le jeune s’isole du monde extérieur, il choisira donc le confort de sa chambre aux activités extérieurs, il participera de moins en moins au repas en famille ou en groupe. Lors des vacances ou sorties en famille il préfèrera surfer sur internet et «tchatter» avec ses amis(es). À long terme, les conséquences peuvent être importantes, entre autre, une baisse des résultats scolaires, isolement, fatigue extrême par manque de sommeil, perte de contact réel avec les jeunes de son âge, perte ou manque d’intérêt pour d’autres activités de loisirs, etc. Conseils aux parents; pensez à consulter les limites d’âge sur les jeux de vos enfants, discuter avec eux de ses jeux et activités préférer en ligne, Réfléchissez à comment il pourra satisfaire ses besoin dans le monde réel également. En cas de consommation excessive d’Internet ou de jeux : limitez le temps que votre enfant passe à l’ordinateur par jour ou par semaine et cherchez avec lui d’autres idées pour occuper ses loisirs.

Source : http://www.jeunesetmedias.ch/fr/opportunites-et-risques/risques/cyberdependance.html#sthash.q7soxzv4.dpuf

Rappel historique: En 2011, Prisme s’était classé deuxième parmi les 103 candidatures présentés aux Prix annuels Desjardins pour la catégorie « Aide à la Jeunesse » ! Un certificat de la Fondation Desjardins nous avait été remis pour l’occasion.

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