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Chronique

L’année 2017 s’achève avec une montée de tensions, de violence et de haine qui menacent l’équilibre de la planète et celui des sociétés humaines. Parallèlement, des dizaines de millions d’êtres humains, pour la plupart anonymes, œuvrent pour la paix et l’amour. Et un pape pas comme les autres, ose rappeler aux bouddhistes le bienfait de l’amour sur leur propre terre. Rien n’est totalement perdu ni tout à fait gagné. Et la vigilance est de mise.

La journaliste et philosophe allemande Carolin Emcke s’inquiète de la banalisation de la haine (1) à travers la montée actuelle du populisme. Pour elle, le danger qui pèse sur la société libérale ne provient pas d’un excès de « politiquement correct » mais de la diffusion massive de la haine. Celle-ci anesthésie les perceptions fines qui nous font voir en notre prochain « un individu et non une essence ». La haine d’aujourd’hui réduit l’autre à une identité abstraite, complotiste et détestable au point de le rendre invisible.
Le système d’amplification du numérique démultiplie cet effet et conduit Carolin Emcke à s’interroger : la haine ne serait-elle pas devenue « acceptable » et « de bon ton » ?

Extrait de la revue Acropolis de Décembre.

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