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Communiqué

Montréal, 26 novembre 2014 – Une première en Amérique du Nord, le gouvernement ontarien annonçait hier la mise en place d’un plan d’action visant à protéger les abeilles et autres insectes pollinisateurs des effets négatifs des pesticides néonicotinoïdes (« néonics »). Équiterre et la Fondation David Suzuki demandent au gouvernement du Québec d’aller au moins aussi loin que son voisin.

Dans un www.action.equiterre.org

En juin dernier, un groupe international de 29 scientifiques indépendants dévoilait ses résultats après avoir analysé 800 publications révisées par des pairs – un travail colossal réalisé sur quatre années. Leur analyse met en lumière les effets négatifs des néonics sur les abeilles, de même qu’un risque élevé pour un grand nombre d’espèces utiles, dont les papillons, les vers de terre et les oiseaux.

De plus, une étude québécoise démontre que le traitement des semences par les néonics n’augmente pas le rendement des cultures agricoles.
Santé Canada est responsable de l’approbation des pesticides au Canada. Les gouvernements des provinces ont le pouvoir de règlementer l’usage et la vente des pesticides sur leur territoire. La proposition est disponible sur le site du gouvernement de l’Ontario pour consultation et commentaires du public pour une période de 61 jours.

– 30 –

Pour plus de renseignements :

Manon Dubois, directrice des communications, Fondation David Suzuki
514-679-0821

Nadine Bachand, chargée de projet Choix collectifs, agriculture et pesticides, Équiterre
514 213-3287

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