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Chronique

Il ne se passe pas une semaine sans que ne se déclenche une nouvelle alerte de pollution : tourbillon de plastique au large de la Californie; fuites de pétrole dans les océans; records de températures sur tous les continents; bacs de recyclage qui finissent dans les sites d’enfouissement…

La tendance globale est à l’amplification des problèmes. Une partie de ces problèmes est causée par l’activité humaine qui va s’accélérant depuis les deux derniers siècles.

Face à l’urgence d’agir, pour notre propre survie et celle des autres êtres vivants de la planète, comment se fait-il que nous soyons incapables de changer notre mode de vie? D’où vient notre propre inertie? Comment se fait-il que les sujets d’actualité qui suscitent le plus d’intérêt soient très superficiels lorsque comparés à la situation de crise globale où nous sommes entrés?

Il est sans doute plus confortable de blâmer le niveau politique pour sa lenteur à agir. Cependant chaque individu pourrait aussi faire son propre examen de conscience.

La situation de crise actuelle démontre qu’il n’est pas suffisant d’être « informé » pour changer. Il faut aussi la volonté de changer. Il faut aussi être capable, lorsque nécessaire, de limiter une partie de son confort personnel pour une cause plus grande que soi et qui touche la collectivité. Est-il possible de se former à cela? Comment faire? Quelles pratiques sont recommandées?

Web: http://acropole.ca/Pollution/default.htm

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